Une transformation audacieuse s’esquisse dans le monde de la mode. Boye “Bibi” Asenuga, émigrée nigériane, transcende les défis du pays froid de Peabody. *Son parcours, d’avocate à créatrice de mode*, illustre la ténacité et l’innovation nécessaires dans un secteur en perpétuelle mutation.
Chaudement accueillie par la School of Fashion Design, elle cultive un esprit familial crucial dans son intégration. Ce lieu éveille ses talents, nourrissant ses aspirations créatives. *ChicNiCity, sa marque emblématique, fusionne traditions africaines et modernité*, apportant une touche élégante au quotidien.
La vision d’Asenuga s’étend bien au-delà de la simple création de vêtements. *Elle aspire à élargir les horizons de l’éducation*, tout en œuvrant pour une plus grande inclusion dans la mode.
| Nom: Boye “Bibi” Asenuga |
| Origine: Nigeria |
| Ville de résidence: Peabody, Massachusetts |
| Éducation: Diplômée de la School of Fashion Design à Boston |
| Marque: Fondatrice de ChicNiCity |
| Style: Mélange de imprimés africains et de modernité |
| Reconnaissance: Prix Distinguished Alumni Award par SFD en 2020 |
| Rôle actuel: Membre du conseil d’administration de la School of Fashion Design |
| Mission: Promouvoir une éducation inclusive en mode |
| Thème des collections: Vêtements au quotidien, accessibles et élégants |
| Mentorat: Soutien aux étudiants de couleur et mères actives |
| Projets futurs: Exploration d’une ligne masculines et unisexe |
| Philosophie: “Commencer petit et penser grand” |
Parcours d’une créatrice inspirée
Boye “Bibi” Asenuga a traversé une tempête de neige du Massachusetts pour rejoindre sa première classe de design de mode à Boston. Originaire du Nigeria, elle a laissé derrière elle un parcours académique en droit pour embrasser un rêve audacieux. Avec sa nouvelle vie à Peabody, elle a rapidement trouvé sa place au sein de la School of Fashion Design, qui est devenue sa véritable famille américaine.
Une carrière en pleine ascension
À présent, Asenuga se distingue en tant que designer de mode nationalement reconnue, avec sa ligne de vêtements pour femmes, ChicNiCity. Son ambition de créer des vêtements alliant des imprimés africains riches en culture et une modernité accessible l’a propulsée sur le devant de la scène. “Je souhaitais des créations qui représentent ma culture dans une forme élégante et portable,” a-t-elle déclaré avec passion.
Un chemin semé d’embûches
Le parcours vers le succès s’est accompagné de défis. Des horaires étendus, des budgets serrés et des doutes constants jalonnent son chemin. “Les gens ne voient que les succès,” explique-t-elle, “mais ils ignorent les larmes derrière les coulisses. L’amour pour ce que l’on fait est ce qui nous pousse à avancer.” Cela illustre parfaitement le sacrifice et la détermination qu’elle a mis en œuvre pour bâtir son label.
Engagement pour l’éducation en mode
Asenuga a reçu le prestigieux Award des Anciens Distingués de la SFD en 2020, reconnaissant ainsi ses contributions à l’industrie. En tant que membre du conseil, elle défend une vision d’inclusion au sein de l’éducation à la mode. Elle aspire à élargir les offres en ligne pour toucher davantage d’étudiants, en particulier ceux issus de la diaspora africaine.
Une vision globale du design
Asenuga envisage même d’élargir sa gamme avec une ligne de vêtements pour hommes, répondant à une demande croissante. Avec des créations polyvalentes, comme des sweat-shirts unisexes, elle souhaite offrir des pièces à la fois élégantes et adaptées au quotidien. “Chaque pièce doit engager une conversation,” résume-t-elle avec fermeté. Par ailleurs, sa double vie entre Peabody et Lagos influence la manière dont elle conçoit sa mode, avec une attention particulière à la fusion des cultures.
Foire aux questions courantes
Comment Boye Asenuga a-t-elle commencé sa carrière dans la mode ?
Après avoir obtenu son diplôme en droit au Nigeria, Boye Asenuga a décidé d’explorer la mode comme un moyen créatif d’expression. Elle a déménagé aux États-Unis il y a 23 ans et a suivi une formation formelle à la School of Fashion Design à Boston.
Qu’est-ce qui a motivé Asenuga à fonder sa propre marque de mode ?
Asenuga a fondé sa marque ChicNiCity pour créer des vêtements du quotidien qui intègrent des imprimés inspirés de l’Afrique de l’Ouest, tout en restant modernes et portables. Elle souhaitait représenter sa culture d’une manière sophistiquée.
Quel rôle joue Asenuga au sein de la School of Fashion Design ?
Boye Asenuga est devenue membre du conseil d’administration de la School of Fashion Design, où elle souhaite promouvoir l’éducation à la mode inclusive et développer des offres en ligne pour atteindre un public plus large, y compris la diaspora africaine.
Quels défis a-t-elle rencontrés en lançant sa carrière dans la mode ?
Asenuga a fait face à des heures de travail longues, des budgets serrés et des doutes personnels. Elle a mentionné que les gens voient souvent le succès, mais pas les larmes et les efforts investis en coulisses.
Comment fait-elle pour intégrer ses expériences culturelles dans sa mode ?
Asenuga s’inspire de ses vécus entre Peabody, Massachusetts, et Lagos, Nigeria, en adaptant des pièces comme les caftans pour les rendre plus modernes et adaptées au style de vie américain.
Pourquoi est-il important pour elle de mentoriser des étudiants de couleur et des immigrants dans le domaine de la mode ?
Elle souhaite que ceux qui viennent d’horizons similaires voient des représentations de leur culture et de leurs expériences dans l’industrie. Elle veut être cette voix et ce modèle pour les futures générations de créateurs de mode.
Quels types de vêtements prévoit-elle de développer pour les hommes ?
Asenuga envisage de lancer une ligne de vêtements pour hommes, avec des sweatshirts unisexes qui sont à la fois élégants, confortables et ancrés dans sa culture.
Quel est l’objectif d’Asenuga en tant que conseillère à la mode ?
Elle souhaite aider la prochaine génération de créateurs à penser en grand tout en commençant petit, afin qu’ils puissent trouver leur propre voie dans le secteur dynamique de la mode.
