Dans un monde où les relations familiales se tissent souvent dans la complexité, Victoria Bedos, la fille de l’illustre humoriste et acteur Guy Bedos, ouvre le cœur sur la complicité unique qu’elle partageait avec son père. Son témoignage vibrant dévoile non seulement des souvenirs empreints de tendresse, mais aussi l’étrange mélange de fierté et de gêne que ressentait Guy, un homme à la carrière flamboyante, mais dont l’amour pour sa fille était d’une profondeur désarmante. À travers ses mots, Victoria nous invite à plonger dans l’intime, à découvrir comment cette connexion filiale a façonné sa vie et son parcours professionnel, tout en oscillant entre rires et larmes.
Victoria Bedos et son père, une complicité indéfectible
Victoria Bedos, fille du célèbre humoriste Guy Bedos, a récemment partagé des confidences touchantes sur la relation qu’elle entretenait avec son père. Le légendaire acteur, décédé en 2020, reste dans les mémoires pour son humour acéré, mais Victoria rappelle une facette plus intime de l’homme derrière la célébrité.
Un père pas toujours à l’aise
Guy Bedos n’était pas toujours à l’aise avec l’idée que sa petite fille devienne une jeune femme. Victoria a révélé que son père éprouvait une certaine gêne à la voir grandir. « Mon père n’était pas très à l’aise avec le fait que je sorte, que je flirte, comme la majorité des papas« , confie-t-elle.
Modèles d’inspiration
La carrière artistique de Victoria Bedos montre combien elle s’inspire de son père tout en traçant son propre chemin. Scénariste, chanteuse et comédienne, Victoria a notamment écrit le scénario de La famille Bélier. Son dernier film, La plus belle pour aller danser, récemment paru sur Netflix, intègre des éléments autobiographiques et des observations sur son père.
Un père proche de ses enfants
Nicolas et Victoria, les enfants de Guy Bedos, ne cachent pas combien leur père était proche d’eux. La période de confinement a été particulièrement difficile pour la famille, surtout que Guy Bedos souffrait de la maladie d’Alzheimer. Victoria raconte : « Il ne comprenait pas la situation qui était surréaliste. On avait beau lui dire par FaceTime : ‘Papa, on n’a pas le droit de venir te voir (…) On est interdit parce que si on vient, on peut te donner une maladie qui va te tuer’« .
La perte d’un patriarche
La mort de Guy Bedos a été un coup dur pour sa famille, qu’il considérait comme un véritable clan. L’absence du « chef de la tribu » a créé un vide immense. Comme l’a dit Victoria : « On était vraiment un clan, donc quand le chef de la tribu s’en va, c’est… On est un peu comme amputé de quelque chose« .