Comment Ricky Wesley Harriott a fait la transition de Final Fantasy à créateur de mode culte

Ricky Wesley Harriott incarne la quintessence de l’innovation, transcendant les frontières entre _le monde du jeu vidéo et la mode._ Cette dualité influence sa création chez SRVC, un label qui a su capturer l’imaginaire collectif. Harriott, influencé par l’esthétique des personnages de _Final Fantasy, redéfinit_ le paysage mode actuel, mêlant audace et sensibilité.
Ses collections exaltent la diversité corporelle, abandonnant les conventions au profit de silhouettes qui célèbrent la force et la vulnérabilité. Le parcours improbable d’un jeune designer londonien, _d’un passionné de jeux à une icône vestimentaire,_ passionne et interpelle à la fois.

Aperçu
Origines: Ricky Wesley Harriott a grandi à Tottenham, influencé par une culture riche.
Passion pour le dessin: Il a commencé à dessiner des personnages de Final Fantasy et d’autres médias, mêlant ses influences pop.
Soutien maternel: Sa mère a encouragé son intérêt pour la mode en remarquant ses talents artistiques.
Formation: Harriott a étudié à la London College of Fashion, où il a perfectionné ses compétences.
Élaboration de la marque: En tant que directeur créatif de SRVC, il s’inspire de ses héroïnes de fiction.
Collections innovantes: Il crée des pièces qui allient force et vulnérabilité, en redéfinissant les silhouettes.
Engagement pour la diversité: Harriott reste déterminé à créer pour différents types de corps, renforçant la diversité.
Vision créative: Il veut que ses vêtements soient perçus comme une armure pour affronter le quotidien.
Culture de la mode: Harriott utilise des éléments de culture geek pour façonner ses designs.

Des débuts dans le monde de l’imaginaire

Ricky Wesley Harriott incarne un parcours fascinant d’évasion créative, ayant vu le jour à Tottenham. En tant qu’enfant, il évolue dans un environnement dynamique, où la culture pop, notamment les vidéos musicales des années 2000, lui offre une palette d’inspiration riche. L’esthétique emo, le rap, et le rock façonnent son sens de la mode. Assis devant la télévision, Harriott passe des heures à s’imprégner de ces influences audacieuses et variées, insufflant l’énergie de ces genres dans ses dessins.

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Le croisement de l’art et de la mode

À travers ses croquis de personnages féminins issus de bandes dessinées et de jeux vidéo, Harriott commence à redessiner les costumes de ses héroïnes préférées. Ce processus catalyse son intérêt pour la mode, avec une attention particulière pour les tenues qui évoquent puissance et individualité. Sa mère joue un rôle clé, encourageant cette passion naissante pour le design au fil des années.

La fondation de SRVC

En 2011, Harriott obtient son diplôme à la London College of Fashion et fonde sa ligne, SRVC. Ce label devient rapidement un synonyme d’audace grâce à des collections novatrices mêlant la culture geek et le style contemporain. L’esthétique de SRVC fusionne les influences des héroïnes de fiction avec des éléments de la vie quotidienne. Créer une armure pour les femmes modernes, tel est l’objectif de Harriott à travers son travail.

Équilibre entre force et vulnérabilité

Avec chaque collection, Harriott trouve un moyen d’étudier l’interaction entre force et vulnérabilité. Les pièces sont élaborées avec un sens aigu de l’expérimentation, mêlant coupes structurées et tissus doux pour offrir un confort optimal. Les styles tels que les bodysuits seconde peau, le denim usé et les détails inspirés des héros de jeux tels que Final Fantasy créent un langage visuel captivant. Ces créations permettent aux femmes de se sentir puissantes tout en restant fidèles à leur identité.

Un engagement pour la diversité

Harriott se démarque dans une industrie souvent critiquée pour son manque de représentation. Le créateur s’engage à concevoir pour un éventail de morphologies. En dérogeant aux normes étroites de beauté, il envisage un futur où chaque femme s’approprie son propre style. Sous l’égide de SRVC, la notion de super-héroïne transcende le domaine fictif, révélant une dimension émotionnelle et sociale, amplifiant la personnalité de chaque cliente à travers des vêtements qui renforcent son caractère unique.

FAQ : Transition de Final Fantasy à créateur de mode culte

Comment Ricky Wesley Harriott a-t-il été influencé par Final Fantasy dans ses créations mode ?
Ricky a commencé à dessiner des personnages de jeux vidéo, principalement des héroïnes de Final Fantasy, en réimaginant leurs costumes. Cette passion pour les personnages fictifs a servi de fondement à son approche créative en mode.
Quels éléments de la culture geek Ricky intègre-t-il dans sa mode ?
Il fusionne des éléments de la culture geek, tels que des figures de jeux vidéo et de la bande dessinée, avec des lignes de mode contemporaines, créant ainsi des pièces qui parlent à la génération d’aujourd’hui tout en faisant un clin d’œil à leur enfance.
Comment a-t-il commencé à dessiner des vêtements ?
Ricky a commencé à dessiner des vêtements étant enfant, influencé par les vidéos musicales et les personnages de jeux. Sa mère a encouragé son intérêt pour la mode en lui faisant remarquer qu’il avait un talent pour le design.
Quel est le concept principal de sa marque SRVC ?
SRVC, qui signifie « Service », vise à habiliter les femmes par le biais de ses créations, en proposant des vêtements qui leur permettent d’affirmer leur identité tout en se sentant fortes et vulnérables à la fois.
Y a-t-il des caractéristiques spécifiques qui rappellent les héroïnes de Final Fantasy dans ses designs ?
Oui, ses créations présentent souvent des silhouettes inspirées par les proportions héroïques, avec des épaules accentuées et des détails qui rappellent des éléments de costumes de super-héros, offrant un mélange d’expérimentation et de sophistication.
Comment Ricky perçoit-il la mode en tant que forme d’expression personnelle ?
Il considère la mode comme une manière pour les femmes de se présenter au monde. Selon lui, le choix des vêtements peut agir comme une sorte d’armure, renforçant la confiance en soi et l’identité personnelle.
En quoi son travail se distingue-t-il dans l’industrie de la mode ?
Ricky se démarque par son engagement envers la diversité corporelle et son désir de créer pour tous types de femmes, tout en rejetant les normes de beauté traditionnelles souvent vues dans l’industrie de la mode.
Quels défis a-t-il rencontrés en passant du monde du jeu vidéo à la mode ?
Les défis incluent la nécessité d’établir sa crédibilité dans l’industrie de la mode tout en restant fidèle à ses racines et à son esthétique inspirée par la culture geek, cherchant à créer un pont entre ces deux mondes souvent perçus comme distincts.
Comment Ricky continue-t-il à s’inspirer de Final Fantasy aujourd’hui ?
Il regarde toujours les jeux et la narration des histoires comme une source d’inspiration, en intégrant des thèmes de force, de vulnérabilité et d’identité dans ses collections actuelles.

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Anaïs
Anaïs

Hello, Hello, je suis Anaïs et j’ai 29 ans. Je suis né à Marseille, mais c’est à Paris que j’ai grandie. Au sein de la capitale, je me suis passionnée pour la mode et la beauté.
J’ai eu la chance de bosser pour quelques marques très connues et j’ai accumulé pas mal d’expérience. A présent, je cultive mon réseau pour vous faire part des meilleures affaires et des looks les plus tendances. Mon objectif est de sentir la mode avant toutes les autres et de vous en faire profiter.

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