pendant que vous faisiez défiler des infos négatives, ce résident de B’luru a créé une jungle de 500 plantes chez lui après le travail

Un résident de B’luru transforme son chez-soi en oasis. En dépit des nouvelles accablantes, la passion pour le jardinage pousse à l’engagement. Syed Alfatah Manzoor, par son initiative, manifeste une résilience exemplaire à travers les soins apportés à ses 500 plantes.

Ce voyage végétal révèle les possibilités d’un petit espace. Chacune de ces espèces, soigneusement choisies, témoigne de son lien intime avec la nature. Rehausser la qualité de vie par le jardinage incarne une tendance croissante parmi les citadins.

Le jardinage conduit non seulement à une esthétique fascinante, mais aussi à un bien-être accru. Dans un contexte urbain surchargé et anxiogène, Syed incarne ainsi un modèle inspirant.

Aperçu
Résident Syed Alfatah Manzoor, habitant de Bengalore.
Superficie Un appartement de 300 sq ft.
Nombre de plantes Un impressionnant total de 500 plantes.
Passion pour le jardinage Renaît pendant la pandémie de COVID.
Sols Usage de vermicompost pour améliorer la qualité du sol.
Pestes Utilisation d’huile de neem comme répulsif naturel.
Arrosage Adapté aux pluies inattendues de Bengaluru.
Connexion avec les plantes Prend le temps d’écouter et d’observer ses plantes.
Objet unique Possède un fossile ammonite âgé de 60 millions d’années.
Message Inspiration pour ceux qui cherchent à créer un espace durable.

Paysage luxuriant dans une métropole

La ville de Bengaluru, souvent perçue comme un centre névralgique de l’innovation technologique en Inde, cache également des trésors de verdure. Un résident, Syed Alfatah Manzoor, a transformé son appartement de 300 pieds carrés en un véritable sanctuaire de la nature. Sa passion pour le jardinage, ravivée par la pandémie, l’a conduit à cultiver une impressionnante collection de 500 plantes au sein de son domicile.

Un retour aux racines

Syed explique que son amour pour les plantes remonte à son enfance. Des graines rapportées par son père alimentaient son engouement, il se souvient notamment des concombres. Ce lien profond l’a motivé à réinvestir ce jardinage pendant la pandémie, créant un espace dédié à la flore dès juin 2020. Chaque ajout de plante a constitué une étape naturelle et intuitively orchestrée.

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Les fondements d’un jardin prospère

Une terre fertile

La qualité du sol s’avère déterminante pour la santé des plantes. Syed mise sur le vermicompost, un amendement organique richissime produit par les vers de terre. Ce dernier améliore non seulement la structure du sol, mais accroît aussi la disponibilité des nutriments. Une terre aérée et bien entretenue facilite la rétention d’humidité, diminuant ainsi la fréquence d’arrosage.

Choix des variétés

Les jeunes jardiniers doivent prioriser des espèces de plantes robustes et peu exigeantes. Syed conseille d’opter pour des variétés comme les chives, le sedum ou certaines herbes aromatiques telles que la sauge et le romarin. Sa propre collection de plantes, parsemée de teintes vibrantes, inclut des fleurs exotiques et des légumes variés, alimentant ainsi son amour pour la biodiversité.

Gestion des nuisibles et des intempéries

Les nuisibles représentent un défi inévitable dans toute démarche de jardinage. Syed utilise de l’huile de neem, reconnue pour ses propriétés protectrices. Cet oléagineux joue un rôle fondamental dans l’équilibre des jardins, en repoussant efficacement les insectes indésirables. Chercher à maintenir la santé du jardin sans recourir à des produits chimiques est un choix réfléchi.

Les averses inattendues de Bengaluru constituent une richesse que Syed exploite avec ingéniosité. La pluie abondante réduit souvent la nécessité d’arrosage, ce qui lui permet d’adapter ses habitudes d’entretien en fonction des saisons. En été, le besoin d’humidité augmente, nécessitant un arrosage plus fréquent.

Connexion intime avec la nature

Établir un véritable lien avec les plantes est au cœur de l’engagement de Syed. Il encourage toute personne désireuse de jardiner à se familiariser avec ses protégées. Ce temps passé près des plantes constitue une source d’enrichissement mutuel. En observant attentivement les besoins de chaque variété, il prévient efficacement les problèmes potentiels.

Un fossile de 60 millions d’années, une ammonite rapportée de son trek au Népal, orne son jardin. Cette pièce unique, associée à d’autres plantes vibrantes, approfondit l’expérience sensorielle de son espace. Syéd a réussi à établir un environnement durable et inspirant au cœur d’une métropole.

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Foire aux questions courantes

Comment ce résident de B’luru a-t-il commencé son jardinage ?
Il a été inspiré par sa passion pour les plantes, revisitée pendant le confinement de la COVID-19, et a commencé à créer un espace pour les plantes chez lui en juin 2020.

Combien de plantes ce jardin contient-il ?
Le jardin de ce résident compte environ 500 plantes, créant une véritable jungle urbaine.

Quelles sont les étapes essentielles pour réussir son jardin à domicile ?
Cet habitant souligne l’importance d’une bonne terre, du choix de plantes adaptées, de la gestion des nuisibles et d’une attention régulière aux besoins des plantes.

Quel type de terre utilise-t-il pour ses plantes ?
Il utilise principalement du vermicompost pour enrichir le sol, améliorant ainsi la structure, la rétention d’humidité et la disponibilité des nutriments pour les plantes.

Quels types de plantes sont recommandés pour un jardin à faible entretien ?
Il recommande des plantes robustes comme les chives, le sedum, les géraniums, et des herbes telles que la sauge et le romarin qui nécessitent peu d’entretien.

Comment gère-t-il les nuisibles dans son jardin ?
Il utilise de l’huile de neem comme répulsif naturel, qui est efficace contre les nuisibles et favorise la santé globale des plantes.

Quel est le rôle de l’arrosage dans l’entretien de son jardin ?
Il adapte l’arrosage en fonction des saisons, profitant des pluies non saisonnières de Bengaluru pour réduire la fréquence d’arrosage, tout en s’assurant que ses plantes reçoivent suffisamment d’eau pendant les périodes sèches.

Quelle est l’importance du lien avec les plantes selon ce résident ?
Il souligne que passer du temps avec ses plantes permet de mieux comprendre leurs besoins et d’identifier rapidement tout problème, comme un manque d’eau.

Y a-t-il un élément unique dans son jardin ?
Oui, il possède un fossile ammonite vieux de 60 millions d’années, qu’il a rapporté d’un trek au Népal, ajoutant une touche d’histoire à son jardin.

C’est possible de créer un jardin ainsi dans d’autres métropoles ?
Oui, il démontre qu’avec de la foi, de bons matériaux et le respect des rythmes de la nature, n’importe qui peut transformer son espace en un jardin luxuriant, même dans une grande ville.

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Juliette
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Je suis Juliette et j’ai 31 ans. Bloggeuse avertie depuis des années, j’ai longtemps vécu à Paris, mais à présent c’est depuis Biarritz que j’officie.
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