Aussi utiles pour garder la santé que pour assurer une stabilité au niveau du couple, les relations sexuelles doivent connaitre une certaine régularité. Mais quelle doit être la fréquence des rapports, et comment savoir si leur nombre a une réelle incidence sur l’ensemble de la vie sexuelle ?
Comment déterminer le nombre idéal ?
Savoir quelle est la fréquence idéale des rapports sexuels est une question que la plupart des gens se posent plus d’une fois dans leur vie.
Cette question trouve difficilement une réponse pour de nombreuses raisons, malgré les recherches sur le sujet. Plusieurs entités ont essayé de mettre un chiffre sur la réalité, dans le but de démystifier les croyances populaires sur ce « nombre idéal ».
Le sexe pour la santé
Les estimations recueillies un peu partout révèlent que le chiffre 9 pourrait être le grand gagnant. Et cela, tout simplement, car la fréquence moyenne des rapports sexuels est de 2 fois par semaine, ajoutée d’un bonus à la quatrième semaine. Il semblerait que cette fréquence est non seulement idéale pour assurer une stabilité dans le couple, mais elle serait aussi bonne pour la santé.
Certaines recherches auraient en effet révélé des liens entre la sécrétion régulière d’hormones de plaisir et le développement de l’immunité contre certains types de cancer. Ces hormones, sécrétées par un baiser passionné ou pendant les ébats, prolongeraient sensiblement l’espérance de vie, car elles diminueraient les risques de développer un cancer de la prostate ou une tumeur mammaire. Les célibataires qui pratiquent les plaisirs solitaires bénéficieraient également des mêmes avantages grâce à la similarité des effets obtenus.
Une fréquence idéale existe-t-elle réellement ?
Malgré ces constats, un sexologue de renom affirme qu’un minimum de rapport tous les 15 jours suffirait à donner de la stabilité au couple et une santé relativement bonne au corps. Cette fréquence aiderait notamment à préserver le couple d’une lassitude néfaste.
Pour trouver le nombre idéal, il est avant tout recommandé de ne pas s’en référer à des données, car les périodes d’inactivités, même longues ne nuisent pas au corps ni au couple, même si l’humeur peut s’en trouver affectée.