Imaginez-vous : Mathieu, un homme en France, devient père grâce à la GPA. Une histoire qui bouleverse les préjugés et transcende les frontières du tiers-monde. Intrigués ? Suivez-nous pour en savoir plus !
Le choix de Mathieu pour devenir père
Mathieu, ancien candidat de la saison 15 de « L’Amour est dans le pré », a récemment pris la décision de devenir père par gestation pour autrui (GPA). Malgré la stigmatisation persistante autour de cette pratique, il a décidé de partager son parcours pour briser les idées reçues et changer les mentalités. Mathieu est conscient des critiques et des préjugés auxquels il devra faire face, mais il reste déterminé à montrer qu’il est possible d’avoir recours à la GPA dans un contexte français, en dépassant les clichés souvent associés au tiers-monde.
Un projet de GPA en Colombie
Pour réaliser son projet de fonder une famille par GPA, Mathieu s’est tourné vers la Colombie. Il a trouvé une mère porteuse à Bogota, avec qui il entretient une relation de confiance et d’amitié. Contrairement aux idées reçues sur le recours à la GPA dans les pays en développement, Mathieu tient à souligner que sa mère porteuse est une personne épanouie, éduquée et fière d’avoir pris cette décision de son plein gré.
La famille de la mère porteuse
Dans une publication sur son compte Instagram, Mathieu a présenté la famille de sa mère porteuse. Il a partagé une photo de lui avec les trois enfants de la mère porteuse, souhaitant ainsi montrer qu’il est loin du cliché du tiers-monde souvent associé à la GPA. Mathieu insiste sur le fait que la décision de recourir à la GPA a été prise collectivement, en concertation avec la mère porteuse. Il rejette ainsi l’idée selon laquelle l’enfant serait « arraché » à sa famille, soulignant que c’est la mère porteuse qui a choisi de faire don de son utérus.
Répondre aux critiques
Bien conscient des critiques et des préjugés qui entourent la GPA, Mathieu a décidé de répondre aux « haters » qui l’attaquent sur différents aspects de la GPA. Il remet en question les commentaires sur la rémunération de la mère porteuse, expliquant qu’il s’agit plutôt d’une indemnité permettant de reconnaître l’importance de l’engagement de la mère porteuse dans le processus. Il insiste également sur le fait que la mère porteuse est une personne respectée, et non pas un « utérus sans cervelle » comme certains peuvent le prétendre.
Une décision basée sur l’amour
Malgré les critiques et les préjugés, Mathieu défend fortement le choix fait par la mère porteuse et son engagement envers son futur enfant. Il suggère que ceux qui critiquent la GPA le font par manque d’ouverture d’esprit et d’empathie, incapables de comprendre le véritable acte d’amour qui se cache derrière cette démarche. Mathieu souligne également l’osmose existante entre lui et la mère porteuse, créant ainsi le meilleur environnement possible pour accueillir leur enfant.
Changer les mentalités sur la GPA
En partageant son expérience et en brisant les clichés qui entourent la GPA, Mathieu espère contribuer à changer les mentalités sur cette pratique en France. Il souhaite que les gens comprennent que la GPA peut être une option valable pour fonder une famille, dans le respect et l’amour mutuel entre toutes les parties impliquées.
